octobre 2016
Gazebo/One Drop
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Lorsqu’ils se rencontrèrent pour la première fois en 1991 sur un plateau de télévision, il s’est produit entre Ray Lema et Laurent de Wilde une étincelle que vingt cinq ans de carrières respectives ont gardée intacte.
Durant ces années, chacun a poursuivi son chemin sur des projets aussi intenses que variés : jazz, chœurs, funk, world, electro, slam, musique symphonique, solo, trio, quintet, quatuor à cordes, big band : les deux pianistes avides de nouveautés ont défriché sans relâche des pans entiers de musique avec une curiosité et un goût du risque inaltérables.
Sans doute fallait-il attendre ces vingt-cinq ans pour que l’élan initial se transforme en un projet commun et c’est aujourd’hui qu’il se réalise. Deux pianos, une voix et un millier d’idées récoltées au cours de leurs périples.
Ceux qui espèrent une bataille de virtuoses et un choc de deux mondes seront déçus, car il est avant tout question de musique et de partage. Oui, il y a de l’Afrique en Ray Lema et du Jazz en Laurent de Wilde, mais il y a surtout ce désir de repousser ses limites, de poursuivre les émotions là où elles sont encore vraies, au-delà des genres et des chapelles.
Le répertoire composé à deux est leur lieu de rencontre. Joués, frappés, caressés, les pianos chantent à tour de rôle, toujours lyriques, jamais bavards. Sur quelques titres Ray chante lui aussi, et emporte le duo vers des mélodies immémoriales, là où depuis toujours les sons parlent à notre âme.
On l’a compris : plus qu’une rencontre, ce projet est un voyage.
Durant ces années, chacun a poursuivi son chemin sur des projets aussi intenses que variés : jazz, chœurs, funk, world, electro, slam, musique symphonique, solo, trio, quintet, quatuor à cordes, big band : les deux pianistes avides de nouveautés ont défriché sans relâche des pans entiers de musique avec une curiosité et un goût du risque inaltérables.
Sans doute fallait-il attendre ces vingt-cinq ans pour que l’élan initial se transforme en un projet commun et c’est aujourd’hui qu’il se réalise. Deux pianos, une voix et un millier d’idées récoltées au cours de leurs périples.
Ceux qui espèrent une bataille de virtuoses et un choc de deux mondes seront déçus, car il est avant tout question de musique et de partage. Oui, il y a de l’Afrique en Ray Lema et du Jazz en Laurent de Wilde, mais il y a surtout ce désir de repousser ses limites, de poursuivre les émotions là où elles sont encore vraies, au-delà des genres et des chapelles.
Le répertoire composé à deux est leur lieu de rencontre. Joués, frappés, caressés, les pianos chantent à tour de rôle, toujours lyriques, jamais bavards. Sur quelques titres Ray chante lui aussi, et emporte le duo vers des mélodies immémoriales, là où depuis toujours les sons parlent à notre âme.
On l’a compris : plus qu’une rencontre, ce projet est un voyage.